EXPO ‘un jour qui paraissait comme les autres’ – Galerie objet rare, Paris (FR) – 13-18 sept. 2013
Parcours du Bijou «Circuit Bijoux» – Paris – à partir de SEPT. 2013
De septembre 2013 à mars 2014
« un jour qui paraissait comme les autres » - à la galerie « objet rare » à paris 11eme du 13 au 18 septembre avec Marielle Debethune, Katharina Dettar et Clement Puig inauguration le 18 à 18h
« Ce projet nait de l’envie de Marielle Debéthune, Katharina Dettar et Clement Puig de s’interroger sur la manière même de faire une exposition.
Prétendant toucher un public non initié, la proposition est de réaliser une exposition intimiste, sociale, et singulière qui se nourrit de l’interdisciplinarité (bijoux, photographies, collages, coopérations avec les gens du quartier de la galerie…).
Les bijoux et les photographies sont à la fois des objets intimes et publics. Intimes, puisqu’ils sont souvent chargés d’émotions et de souvenirs. Publics, dans la mesure où ils sont faits pour être vus et montrés. S’appuyant sur cette dualité intrinsèque au bijou et à la photographie, le concept est de transposer cette idée à une exposition de caractère antagonique : où l’individuel, le privé, le sentimental se mêlent avec le collectif, le public, le quotidien…
Pour cela, l’idée est de présenter une exposition avec différents points de rencontre :
En amont, les habitants du quartier seront photographiés portant les bijoux de l’exposition dans leur vie quotidienne, leurs lieux de travail, ou devant leur maison.
Ces instantanés seront, pendant la durée de l’exposition, présentés en collage grand format sur les murs de leurs commerces, maison… Cela créera une exposition en plein air que le public découvrira en suivant le circuit qui les mènera tout naturellement jusqu’à la galerie “Objet Rare” ( 11 rue Paul Bert dans le 11ème à Paris).
Dans cette galerie, le public pourra enfin contempler les bijoux ainsi que les photographies in vivo dans une scénographie intimiste recréant une ambiance privée, quotidienne, de telle manière que les bijoux contemporains et les photographies dialogueront avec l’usuel.
Cet aller-retour entre vie privée et espace public a pour objectif d’impliquer le spectateur et de proposer de nouveaux espaces d’exposition.«
Prétendant toucher un public non initié, la proposition est de réaliser une exposition intimiste, sociale, et singulière qui se nourrit de l’interdisciplinarité (bijoux, photographies, collages, coopérations avec les gens du quartier de la galerie…).
Les bijoux et les photographies sont à la fois des objets intimes et publics. Intimes, puisqu’ils sont souvent chargés d’émotions et de souvenirs. Publics, dans la mesure où ils sont faits pour être vus et montrés. S’appuyant sur cette dualité intrinsèque au bijou et à la photographie, le concept est de transposer cette idée à une exposition de caractère antagonique : où l’individuel, le privé, le sentimental se mêlent avec le collectif, le public, le quotidien…
Pour cela, l’idée est de présenter une exposition avec différents points de rencontre :
En amont, les habitants du quartier seront photographiés portant les bijoux de l’exposition dans leur vie quotidienne, leurs lieux de travail, ou devant leur maison.
Ces instantanés seront, pendant la durée de l’exposition, présentés en collage grand format sur les murs de leurs commerces, maison… Cela créera une exposition en plein air que le public découvrira en suivant le circuit qui les mènera tout naturellement jusqu’à la galerie “Objet Rare” ( 11 rue Paul Bert dans le 11ème à Paris).
Dans cette galerie, le public pourra enfin contempler les bijoux ainsi que les photographies in vivo dans une scénographie intimiste recréant une ambiance privée, quotidienne, de telle manière que les bijoux contemporains et les photographies dialogueront avec l’usuel.
Cet aller-retour entre vie privée et espace public a pour objectif d’impliquer le spectateur et de proposer de nouveaux espaces d’exposition.«
bague Marielle Debethune
Galerie OBJET RARE
11, rue paul-Bert
75011 paris
Tél. : + 33 (0)1 75 42 94 58
Du mardi au samedi de 14h à 19h
entrée libre
Quand on dit «bulles», et qu’on décide de l’aborder du côté physique, on aboutit rapidement à la mousse, de champagne, ou de savon. C’est plutôt cette dernière qui me plait, son palais, la salle de bain et toutes ces billes-balles-bulles qui concourent à notre beauté ou à nos préparatifs sociaux par lesquels nous perdons joyeusement nos caractéristiques odorantes pour en trouver de nouvelles. Sentons bons, parons nous !!! »
